Catégories : Aux pieds des femmes
il y a 1 an
Enfin l’été ! Les vacances, le soleil et les guêpes qui squattent les salades de pâtes accompagnant le barbecue. Cet été, je suis parti en camping avec ma famille au bord de la Méditerranée. J’aimais beaucoup la plage pour me baigner et admirer les jolies filles en bikini qui bronzent ou qui se baignent. Nous étions à un camping avec beaucoup d’animations, une grande piscine avec toboggan, un bar, une salle de spectacle, le tout à 2 pas de la plage.
Le premier jour, alors que je faisais des longueurs dans la piscine, une annonce au haut-parleur m’a interpellé puisqu’il était question d’un club pour les jeunes de mon âge auquel j’ai immédiatement décidé de m’inscrire afin de me faire des amis. Le rendez-vous nous était donné une heure plus tard devant l’accueil de l’hôtel. Comme le camping n’offrait que des séjours du samedi au samedi, je me suis dit que tout le monde venait d’arriver donc que personne ne se connaissait et que, en tant qu’éternel timide, ce serait plus facile pour me faire des amis. Malheureusement, une fois arrivé sur place, j’ai remarqué que de petits groupes s’étaient déjà formés. J’ai aussi noté qu’il y n’y avait que 5 filles pour une quinzaine de garçons.
L’animateur est arrivé et s’est présenté. Il s’appelait Benoît et nous a annoncé le programme : un beach-soccer (foot sur sable) sur la plage d’à côté pour faire connaissance. Plusieurs filles ont alors râlé car elles n’aimaient pas le foot. Benoît a alors proposé que ceux qui ne voulaient pas jouer pouvaient faire un beach-volley mais qu’il ne pouvait pas encadrer tout le monde donc qu’il ne fallait faire n’importe quoi. Comme je détestais le foot, je me suis mis sur le côté, là où Benoit a demandé aux non-footeux de se rejoindre.
Il y avait 3 des 5 filles et moi, seul garçon car tous les autres étaient partis faire les goleadors. J’étais assez mal à l’aise seul au milieu de ces demoiselles, surtout qu’elles étaient assez jolies. Je les ai néanmoins accompagnées jusqu’au filet qui se trouvait à une trentaine de mètres de là.
En arrivant, l’une d’elles m’a demandé mon prénom puis chacune a également donné le sien. Elles paraissaient se connaitre déjà un peu toutes les 3. Amélie était mince et presque aussi grande que moi. Elle avait les cheveux noirs et portait des lunettes de soleil. Pauline était un peu plus petite et svelte, elle avait les cheveux châtain clair et les yeux gris-verts. Enfin, Julie était blonde aux yeux bleus, de taille et de corpulence moyennes. Elle portait un maillot une pièce alors que Amélie et Pauline étaient en bikini. Pauline avait d’ailleurs un peu plus de formes que ses compères mais rien de vulgaire non plus.
Les équipes ont été faites pas affinités. Pauline et Julie s’étaient bien rapprochées et se sont mises ensemble. Je me suis donc retrouvé avec Amélie. Avant que la partie ne commence, il a été conclu que l’équipe perdante aurait un gage. Smatchs, contres, manchettes : les premiers points du match permirent à chacune des joueuses d’étaler leur palette technique. En ce qui me concernait, par ma nullité, je ratais beaucoup de balles malgré toute ma bonne volonté. Ainsi, je me jetais régulièrement au sol pour rattr a p e r des balles difficiles mais avec comme unique résultat du sable dans la bouche. Mon modeste niveau de jeu faisait beaucoup rire mes adversaires et exaspérait parfois ma partenaire. Ce qui devait arriver arriva rapidement : nous avons perdu assez sèchement.
Le gage qui nous était promis a alors été défini par nos b o u r r e a u x : Amélie et moi devions rester allongés pendant que les 2 autres filles nous recouvraient de sable et nous devions ensuite nous débrouiller pour ressortir. C’est Pauline qui s’est occupée de mon cas. Elle m’a recouverte de beaucoup de sable ne laissant que me tête dépasser avant de tasser avec énergie. Julie, de son côté, avait déjà fini en ne mettant que peu de sable. Amélie a donc pour s’extraire facilement. Pauline leur a alors demandé de venir l’aider pour m’enterrer. Julie a alors mis sa serviette sur ma tête pour me préserver la surprise. Quelques minutes plus tard, je découvris un tas de sable si grand que je ne pouvais pas voir l’autre bout de là où j’étais. J’ai alors essayé de sortir mais tous mes tentatives de mouvements étaient vaines, je ne pouvais bouger que la tête et le cou.
Les filles m’encourageaient mais impossible. Pour rigoler, elles m’ont nonchalamment laissé ainsi et sont alors allées se baigner en me laissant me recouvrant de nouveau la tête d’une serviette alors que je les suppliais de me libérer.
Plusieurs interminables minutes plus tard, elles sont enfin revenues et m’ont enlevé la serviette qui me cachait la vue. J’ai de suite fait part de mon mécontentement quant à cette situation, notamment car je commençais à me sentir vraiment à l’étroit sous cet épais tas de sable.
Sans vraiment faire attention à moi, Amélie s’est alors proposée pour aller chercher à manger à l’épicerie du coin pendant que Julie et Pauline allaient me déterrer. Elle a alors voulu remettre ses chaussures fermées mais ses pieds étaient pleins de sable. En pestant contre son choix de chaussures (il est vrai que des tongs auraient été plus pertinentes). Elle a alors sorti une bouteille d’eau, a saisi son pied droit et l’a aspergé pour enlever le sable, m’éclaboussant au passage, ce qui a fini de m’énerver. Mais c’est alors que, debout sur son seul pied gauche, elle perdit l’équilibre. Elle a alors eu comme réflexe d’urgence de se rattr a p e r en posant son pied au seul endroit par terre qui n’était pas plein de sable : mon visage.
La vitesse de chute était telle que ce fut une véritable gifle, d’autant que le sel de mer imprégné dans sa peau la rendait presque corrosive. Amélie s’est immédiatement excusée à demi-mot, sans pour autant enlever son pied, précisant qu’elle allait en profiter pour remettre ses chaussures sans se salir. C’était surtout l’occasion pour elle de faire taire mes râles. Julie lui a alors apporté sa chaussure droite en urgence qu’Amélie a pu mettre avant de se rincer l’autre pied et de remettre son autre chaussure tranquillement, en s’excusant de nouveau. Gêné et sonné, j’ai préféré ironiser sur la situation en précisant que j’avais su me rendre utile même dans cette position. Après quelques rires de mon maigre public, un court mais lourd silence s’est installé. Dans un élan de folie, j’ai alors ajouté que ce moment n’avait pas été si désagréable, ce que j’ai de suite regretté.
En effet, les filles ont vraisemblablement compris de suite mon faible pour les pieds. Elles se sont alors regardées, ont pouffé de rire et m’ont annoncé qu’on allait pouvoir s’amuser. Mon cœur, qui battait déjà très vite après cet évènement, s’est mis à accélérer tellement fort qu’il aurait pu soulever la masse de sable à lui seul. J’étais à la fois excité et inquiet. Inquiet pour ce que j’allais subir en public. Inquiet pour mon image auprès de ces jeunes femmes. Inquiet de savoir mon secret possiblement révélé au grand jour.
Cependant, les filles m’ont rapidement sorti de mes pensées en s’installant sur mon cercueil de sable en face de mon visage, pieds en ma direction. Riant de nouveau de cette situation et de ma gêne, Pauline m’a alors demandé de fermer les yeux. J’ai obéi fébrilement, tout en sentant venir à moi ce que j’ai tout de suite identifié comme étant 3 pieds. De par une température légèrement différente pour chaque, j’ai compris qu’on m’avait offert un pied de chacune des demoiselles. La douce et riante voix de Pauline m’a alors demandé de deviner à qui était chacun afin de savoir si, je cite, j’étais un « vrai expert des pieds ». Plutôt que de m’enfermer dans une gêne qui me priverait d’un moment fort, je suis rentré dans leur jeu.
C’était assez difficile de différencier les différents pieds à cause de l’omniprésente odeur salée laissée par l’eau de mer. J’ai néanmoins tout de suite reconnu ceux d’Amélie qui venait d’enlever ses chaussures car ils étaient encore légèrement humides et avait moins de sable que les autres. Pour Pauline et Julie, c’était une chance sur 2 et je me suis trompé. Faussement énervées, les deux protagonistes m’ont alors gentiment giflé de concert avec leur pied.
Comme la punition n’était visiblement pas suffisante pour elles, Julie m’a demandé de lui baiser le pied pour me faire pardonner. Comme il était plein de sable, les deux autres filles ont regardé Julie, lui demandant si elle était sure d’elle car cela était quand même sévère. De mon côté, sans me poser de question, j’avais déjà attaqué le nettoyage, ce qui interrompa de suite leurs doutes. Les débuts furent néanmoins difficiles car le goût poussiéreux n’était pas des plus agréable, sans parler des grains de sables que je devais cracher régulièrement. Cependant, cette peine ne fut pas vaine car, une fois le pied propre, son nettoyage fut un grand plaisir. Ce plaisir était malgré tout désagréable en raison de la masse de sable qui recouvrait mon corps, et donc mon entrejambe, ne lui permettant pas le moindre mouvement.
Mon léchage méticuleux fut probablement de qualité puisque, jalouse, Pauline poussa d’un mouvement de cheville le pied de Julie afin de positionner le sien face à ma bouche. Sans la moindre parole, je compris qu’elle demandait le même traitement, que je lui ai prodigué avec la même énergie, même si je trouvais le pied de Julie un peu plus agréable. Mais le must arriva juste après quand Amélie me fit goûter son peton à son tour.
En effet, ce petit bijou à l’origine de cette situation invraisemblable était tout simplement divin, et dépourvu de sable ce qui me permis de profiter dès le début de ce moment de bonheur. Amélie avait beau être la plus grande, c’est elle qui chaussait le plus petit. Son peton était d’une beauté très pure : une peu très lisse, des orteils gracieusement arrondis, sans parler des courbes de sa voûte plantaire qui ferait rougir n’importe quel designer. Alors que j’embrassais avec amour cette merveille, j’entendais son propriétaire lancer avec ironie un « bon toutou », tout en retirant son pied pour m’offrir l’autre. Ce sobriquet, bien qu’humiliant et moqueur, me faisait réellement de l’effet.
Julie, observant avec curiosité le nettoyage méticuleux des pieds de son amie, m’a demandé quels pieds avaient le meilleur goût. Pour ne vexer personne, j’ai préféré répondre qu’ils étaient tous parfaits ce qui fit rire ces dames. Ne voulant pas trancher, les filles m’ont alors simultanément offert chacune un pied. L’un se faisait tranquillement nettoyer pendant que les deux autres s’amusaient à malaxer et à griffer mes joues. Mais Pauline, lassée, s’est finalement levée et m’a piétiné le visage en riant. Me jugeant assez solide, elle convia alors ses copies à l’imiter.
Les filles se mirent alors à la queue-leu-leu et marchèrent sur mon visage chacune leur tour. Je ne pouvais strictement rien faire dans cette position sous ce sable, j’étais à leur merci. J’étais devenu un objet, un jouet, une simple marche d’escaliers. Parfois, elles restaient quelques secondes pieds-joints sur moi en regardant ma réaction. Je ne bronchais pas, je ne bougeais pas, mais leur poids sur mon seul visage était difficile à supporter.
Voyant ma souffrance, Amélie invita ses compagnes à retourner s’asseoir toutes les trois, jugeant qu’elles étaient allées trop loin. Sonné, j’étais incapable de dire le moindre mot ni d’intervenir dans la discussion. Ces 3 paires de pieds étaient devenues la seule chose qui me préoccupais, plus rien n’avait d’importance. J’avais la volonté de faire de mon mieux pour les vénérer comme ils le méritent. Malheureusement, il était temps d’arrêter. C’est pourquoi les filles se mirent à me déterrer. La libération fut douloureuse tant j’étais compressé sous ce tas de sable. J’ai malgré tout réussi à me relever et à enlever tout le sable qui était resté accroché partout sur mon corps.
Enfin débarrassé du sable, je vis au loin Pauline et Julie qui s’en allaient en riant. Pensant alors être seul, je sentis une main glisser doucement de mon dos le long de ma hanche. C’était Amélie derrière moi qui me chuchota alors à l’oreille « Tu sais que t’es mignon quand t’es à mes pieds toi ? » avant de me déposer un baiser sur la joue puis de partir en courant rejoindre les autres. Et moi, planté là, j’essayais encore de réaliser tout ce qui venait de ses passer.
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